
Eric Coquerel Biographie | Eric Coquerel est un communicant et homme politique français né le 30 décembre 1958 à Courbevoie.À 14 ans, Éric Coquerel participe aux rassemblements contre la loi Debré de 1973, ce qui est la première fois qu’il s’identifie à l’idéologie anarchiste.
Proche de la Ligue communiste révolutionnaire, qu’il rejoint en 1983 1, il participe aux festivités qui se déroulent le 10 mai 1981 après la proclamation de François Mitterrand à l’élection présidentielle de 1981.
Après obtenant son baccalauréat en candidat libre la même année, il s’inscrit au cursus d’histoire de l’université sur le campus de Jussieu 1 pour poursuivre sa formation.
Eric Coquerel est né le 30 décembre 1958 dans la commune de Courbevoie, située dans le département des Hauts-de-Seine. Il a commencé à participer à des manifestations contre la loi Debré à l’âge de 14 ans, et a continué jusqu’à ses 18 ans.
Après avoir obtenu son baccalauréat en candidat libre, il s’est inscrit dans une classe d’histoire à l’université de Jussieu pour poursuivre ses études.
Dans les années 1980, il a commencé à s’impliquer dans la politique et a finalement rejoint la Ligue communiste révolutionnaire.
Il fonde une agence de communication appelée Effects Sea, spécialisée dans la voile, et pendant plusieurs années, il est notamment responsable de la communication de marins comme Isabelle Autissier et Michel Desjoyeaux.
2003 est l’année où il commence à s’intéresser davantage à la politique et fonde le Mouvement pour une alternative républicaine et sociale.
En 2008, Éric Coquerel s’est activement impliqué dans la création du Parti de gauche 1, dont il a ensuite été le secrétaire national aux relations extérieures et unitaires 4.
Pendant cette période, il a également été membre du Parti de gauche. En tant que coordinateur politique au sein du PG, il théorise la stratégie “plan A/plan B”, qui consiste à menacer la sortie de la France de l’Union européenne et de la zone euro en cas d’échec des négociations sur les traités en vigueur :
il indique qu’il “[partait] du constat que la capitulation de Tsipras devant les institutions européennes avait eu lieu parce qu’il n’avait pas de plan B de sortie de l’euro 7.”
Au cas où les négociations sur les traités en 2016, lors de sa course à la présidence, Jean-Luc Mélenchon utilisaient le slogan “Cette Europe, soit on la change, soit il faut la quitter 7.” Il est crédité d’être la personne qui a inventé la phrase.
En 2008, il participe activement à la formation du Parti de Gauche, dont Jean-Luc Mélenchon est co-fondateur. Il a été nommé au poste de secrétaire national aux relations extérieures en plus de son rôle de coordinateur.
En 2010, il remporte un siège au conseil régional d’Ile-de-France lors de l’élection de cette région. En 2012, il prend un poste de conseiller pour la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon au moment où celle-ci démarre.
Il a été élu député de la première circonscription de Seine-Saint-Denis pour le groupe La France insoumise lors des élections législatives de 2017 et réélu en 2022 ; le 30 juin 2022, il a été élu président du comité des finances.
De 2014 à 2021, il a été coordinateur du Parti de gauche. De 2010 à 2017, il est conseiller régional d’Île-de-France. De 2010 à 2017, il a été conseiller régional d’Île-de-France.
Lors des élections européennes qui ont eu lieu en France en 2014, il a obtenu 5,96 % des voix dans la circonscription du Sud-Est et a terminé à la deuxième place sur la liste des candidats du Front de gauche.
Le bureau national du Parti de gauche a accepté la suppression des postes de coprésidents et la réorganisation du secrétariat national le 22 août 2014.
Éric Coquerel a été choisi coordinateur 9 de le nouveau secrétariat national. Lors du quatrième congrès du PG, qui a eu lieu le 5 juillet 2015, il a été élu au poste de coordinateur aux côtés de Danielle Simonnet 10.
Ils quittent leurs fonctions au cinquième congrès en mars 2021, date à laquelle Hélène Le Cacheux et Jean-Christophe Sellin sont élus pour les remplacer.
Au premier tour de scrutin pour les élections législatives de 2022, il a obtenu 53,79% des voix 24, ce qui était suffisant pour gagner.
Au premier tour de scrutin, il était l’un des quinze candidats qui ont obtenu plus de 50 % des voix, et il a obtenu l’un des scores nationaux les plus élevés pour son parti.
Au second tour de scrutin, il recueille 71,68 % des voix, ce qui suffit à battre Jeanne Dromard 25 ans, son adversaire.
Après une élection serrée où le Rassemblement national et la NUPES se disputent le poste, il est élu par ses pairs à la tête de la commission des finances au troisième tour. Ce travail est dévolu à un député de l’opposition selon le règlement, il était donc nécessaire qu’il remporte leélection.
